Iris Gauckler a été infectée par le virus de l’auberge de jeunesse à l’âge de 17 ans. Cette jeune aventurière voulait se rendre seule à Stockholm. Sa mère n’était certes pas enthousiasmée par l’idée, mais elle lui permit d’assouvir son désir de découverte à une condition : Iris devait devenir membre des Auberges de Jeunesse Suisses et ne séjourner que dans les auberges du réseau de Hostelling International, car celles-ci étaient considérées comme particulièrement sûres et il y a près de 70 ans, les hôtes devaient déjà être de retour à l’hébergement à 22 heures.
Dès lors, la curieuse Iris ne pourra plus s’arrêter. Jusqu’à ce jour, elle a exploré de nombreux pays, de l’Inde à l’Australie, en passant par la Nouvelle-Zélande, le Népal ou encore l’Ouzbékistan. Aujourd’hui encore, elle dort dans la mesure du possible dans des chambres à plusieurs lits des auberges de jeunesse et y fait la connaissance de personnes du monde entier.
Découvre l’histoire complète dans la vidéo :
le Vespa Club à la recherche du lapin de Pâques
Je rencontre une troupe hétéroclite de personnes alors que je retrouve le Vespa Club de Nidwald à l’Auberge de Jeunesse Berne. Douze membres sur un total de 33 sont présents. Rires bruyants, plaisanteries, bonne humeur. Rien d’étonnant à ce que le club existe depuis 73 ans avec une ambiance aussi décontractée et joyeuse.
Depuis plus de dix ans, les fans de Vespa se rendent à Pâques dans une auberge de jeunesse pour une escapade d’un week-end. Lorsque certains membres fondent des familles et s’agrandissent, la plupart des hôtels sont soudain trop petits pour accueillir plus de 50 personnes. Le scepticisme initial se transforme rapidement en enthousiasme : les salles de séjour et de jeux spacieuses pour les enfants, l’ambiance décontractée, les bons repas et les sympathiques collaborateurs ont contribué à faire du Vespa Club de Nidwald un habitué des auberges de jeunesse.
Laisser un commentaire