100 ans des Auberges de Jeunesse Suisses : Chez lui dans les auberges de jeunesse

En un siècle, les Auberges de Jeunesse Suisses ne se sont pas contentées d’écrire une page d’histoire, de nombreuses histoires se sont également déroulées derrière leurs propres portes. Dans cet article, nous te présentons régulièrement les souvenirs personnels de nos hôtes.

Heinz Egli voulait en réalité faire une grande randonnée à travers les États-Unis : il avait démissionné et rendu son domicile. Puis, la pandémie de coronavirus lui a mis des bâtons dans les roues. Heinz s’installe donc sans hésiter dans les auberges de jeunesse et déménage d’une ville à l’autre.

Heinz Egli a vécu près de deux ans dans les Auberges de Jeunesse Suisses. © Cornelia Vinzens

Malgré toutes les résistances, il n’a pas à renoncer à sa grande randonnée. Il décide alors de randonner le long de la frontière suisse. Il passe principalement la nuit sous tente, mais aussi dans une auberge de jeunesse s’il y en a une à proximité. Une « expérience aux limites » dont il parlera encore longtemps.

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Envie d’encore plus d’histoires ? 

Visite jusqu’au 29 décembre 2024 l’exposition anniversaire « 100 ans des Auberges de Jeunesse Suisses – manger bruyamment, ronfler et jouer ensemble » au Musée du Château de Berthoud. 

Elle sillonne les auberges de jeunesse depuis 67 ans

Iris Gauckler a été infectée par le virus de l’auberge de jeunesse à l’âge de 17 ans. Cette jeune aventurière voulait se rendre seule à Stockholm. Sa mère n’était certes pas enthousiasmée par l’idée, mais elle lui permit d’assouvir son désir de découverte à une condition : Iris devait devenir membre des Auberges de Jeunesse Suisses et ne séjourner que dans les auberges du réseau de Hostelling International, car celles-ci étaient considérées comme particulièrement sûres et il y a près de 70 ans, les hôtes devaient déjà être de retour à l’hébergement à 22 heures. 

À 84 ans, Iris Gauckler voyage encore d’auberge de jeunesse en auberge de jeunesse à vélo, y compris à l’étranger. © Cornelia Vinzens 

Dès lors, la curieuse Iris ne pourra plus s’arrêter. Jusqu’à ce jour, elle a exploré de nombreux pays, de l’Inde à l’Australie, en passant par la Nouvelle-Zélande, le Népal ou encore l’Ouzbékistan. Aujourd’hui encore, elle dort dans la mesure du possible dans des chambres à plusieurs lits des auberges de jeunesse et y fait la connaissance de personnes du monde entier.  

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le Vespa Club à la recherche du lapin de Pâques 

Je rencontre une troupe hétéroclite de personnes alors que je retrouve le Vespa Club de Nidwald à l’Auberge de Jeunesse Berne. Douze membres sur un total de 33 sont présents. Rires bruyants, plaisanteries, bonne humeur. Rien d’étonnant à ce que le club existe depuis 73 ans avec une ambiance aussi décontractée et joyeuse. 

La bonne humeur du Vespa Club de Nidwald est contagieuse. © Cornelia Vinzens 

Depuis plus de dix ans, les fans de Vespa se rendent à Pâques dans une auberge de jeunesse pour une escapade d’un week-end. Lorsque certains membres fondent des familles et s’agrandissent, la plupart des hôtels sont soudain trop petits pour accueillir plus de 50 personnes. Le scepticisme initial se transforme rapidement en enthousiasme : les salles de séjour et de jeux spacieuses pour les enfants, l’ambiance décontractée, les bons repas et les sympathiques collaborateurs ont contribué à faire du Vespa Club de Nidwald un habitué des auberges de jeunesse. 

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